On veut mettre un coup de projecteur sur le travail des agents du collège, et leurs liens avec le développement durable au Collège Jean De La Fontaine.
On ne le voit pas forcément, mais au collège, le travail des agents est essentiel.
Agent spécial 001 : le technicien de maintenance
On le croise souvent dans la cour, mais sa base secrète, c’est l’atelier…
Le mardi 5 avril après-midi, les élèves de 6è5, accompagnés de leurs professeurs Mme RIVAL et Mme BAER, ont eu la chance de passer un excellent moment avec la très sympathique autrice de L’Anguille, roman qui fait partie de la sélection du Prix Litterado 2022 auquel participe la classe du collège. La rencontre s’est déroulée à la médiathèque Sud d’Illkirch. Les élèves vous révèlent ce qu’ils ont appris sur la vie passionnante de cette femme écrivain née en 1974.
Les 6è5 ont rencontré Valentine Goby à la Médiathèque d’Illkirch
Sa vie personnelle
Valentine Goby est originaire de Grasse, ville des Alpes-Maritimes située entre mer et montagne, mais avec une préférence pour le côté montagne, pour ce qui la concerne.
En effet, ses deux loisirs favoris sont le ski et la randonnée. Enfant, elle avait besoin de la montagne pour l’air pur car elle est asthmatique et ses parents y avaient acheté un chalet pour que la famille puisse y séjourner très régulièrement. Elle y faisait d’ailleurs de mémorables batailles de boules de neige lors desquelles elle battait son frère !
Le mardi 22 mars 2022, nous avons assisté à un spectacle dans le gymnase du collège. Ce spectacle, préparé par les élèves d’ULIS et de 5e3 avec la clown Mademoiselle Maria K (alias Cécile Gheerbrant) et le danseur Oskar Dino Wagner, nous a bien plu. Vous aviez déjà pu découvrir les coulisses de ce projet artistique en vidéo sur MBN. Voici les témoignages que nous avons recueillis après la représentation.
Nous avons d’abord interrogé un élève d’ULIS qui a participé au spectacle.
Est-ce que c’était pour réviser qu’on vous avait vu un jour dans la cour du collège avec un nez de clown ?
« Oui, c’était pour cela »
C’était comment de jouer devant tout le monde (tous les 5ème et certains profs) ?
« Il y avait du stress, mais aussi du challenge et c’était pour rendre les gens heureux ! »
Avez-vous envie de faire une nouvelle représentation ?
« Oui, avec les camarades. »
Combien de temps avez- vous mis pour préparer le spectacle ?
Profitons de la semaine des arts au collège pour revenir sur la venue du danseur professionnel de Hip Hop Oskar Dino Wagner à l’UNSS Danse le jeudi 10 mars, pour rencontrer les élèves danseurs et danseuses de 6ème et de 5ème du collège.
Le déroulement de l’atelier
Dans un premier temps, les élèves ont présenté leurs chorégraphies en cours. Dino leur a donné quelques conseils pour progresser : travailler sur le rythme, garder le flow et toujours regarder devant soi pour transmettre un maximum de son énergie au public.
Dans un second temps, Dino a appris aux élèves une chorégraphie de House dance.
Interview d’Oskar Dino Wagner
Présentez-vous.
Je suis Dino, 33 ans, danseur professionnel de hip-hop et j’ai participé à de nombreuses compétitions, comme les championnats du monde.
Depuis combien de temps dansez-vous ?
Depuis que j’ai 12 ans.
Comment avez-vous réussi a danser si bien ? Est-ce du travail, est-ce du talent ?
J’avais un peu de talent mais c’est surtout avec du travail, de l’envie et de la détermination !
Le jeudi 3 février 2022, tous les élèves de 3ème ont participé à une « Journée mémorielle » du système concentrationnaire nazi pendant la Seconde Guerre mondiale, organisée au collège par l’Espace Malraux. Le matin, ils ont assisté à la projection du film Le fantôme de Theresienstadt, réalisé par Baptiste Cogitore, qui part sur les traces du jeune Hanuš Hachenburg, un orphelin tchèque de 13 ans déporté en octobre 1942 dans le ghetto de Theresienstadt. L’après-midi, les élèves ont assisté à la représentation du spectacle Le coeur est un feu (Cie Rodéo d’âme) où la comédienne Claire Audhuy reprend, accompagnée par le violoncelliste Tristan Lescêne, les textes écrits par Hanuš Hachenburg lorsqu’il était à Theresienstadt.
Alors que les élèves de 3°3 ont également travaillé en cours de français sur le roman Petit Paysde Gaël Faye et le poème « Si c’est un homme » de Primo Levi, Madame Nkundwa leur a posé cette question : En quoi est-il original et utile pour les jeunes générations de découvrir les violences de l’histoire contemporaine ? Aléïna, Célia, Julie, Linda, Manuela, Orlane et Yanis nous livrent leurs réflexions.
Représentation du spectacle Le coeur est un feu au collège, le 3 février dernier (Photos : Espace Malraux)
« L’écriture comme témoignage » (Aléïna)
De nos jours, les jeunes générations n’ont pas besoin de se soucier de leur quotidien, ni du lendemain, car en 2022, nous n’avons pas connu la terreur de la guerre. Nous vivons en paix. (Célia)
Mais les élections présidentielles approchent peu à peu. Malheureusement, on entend sortir de la bouche de certains candidats des propos horribles rappelant certains passages de la guerre. (Linda)
L’Histoire n’est pas réservée aux historiens. Les guerres anciennes ou récentes ont été pour beaucoup d’entre elles racontées par celles et ceux qui les ont vécues. En cela, l’écriture autobiographique prend une dimension particulière. Comment peut-on éviter de réitérer les erreurs du passé, si ce n’est en sensibilisant les jeunes générations ?
Pour clore la séquence sur l’autobiographie étudiée en français, chaque élève de la classe a choisi une autobiographie à lire pendant les vacances. Ils l’ont présentée oralement à la classe à la rentrée, en cercle littéraire qui s’est tenu au CDI, avec pour jurys Mmes Baer et Rival. Un grand moment de partage littéraire !
L’autobiographie est un genre littéraire qui consiste à écrire à propos de sa propre vie. Voici les critiques des romans qui ont particulièrement marqués les lecteurs de la classe.
J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir : un roman émouvant
La couverture du roman (Ed. Le livre de poche)
J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir a été écrit par Christine Arnothy et a été publié en 1955 par la maison d’édition « Fayard et Cie ».
Ce roman autobiographique raconte l’enfance pendant la deuxième guerre mondiale d’une jeune fille hongroise de 15 ans se nommant Christine. Elle vit dans un immeuble avec ses parents, et du jour au lendemain, celle-ci va se retrouver dans la cave de l’immeuble, avec des voisins qu’elle ne connaît pas forcément, à cause des bombardements liés à la deuxième guerre mondiale. Le début du livre commence avec l’arrivée d’un certain Pista qui sera comme une délivrance pour les personnes confinées dans cette cave. Mais arriveront-elles à échapper à la menace des Allemands ?
On voit les surveillants tous les jour au collège, on les retrouvera au lycée ou même en internat, mais qui connaît l’envers du décor ?
Comment devient-on surveillant ?
Pour devenir surveillant, il faut avoir le baccalauréat. Dans la plupart des cas, les surveillants sont des étudiants. On les appelle aussi les assistants d’éducation. Ils travaillent à la Vie Scolaire avec la CPE. Ils ont plusieurs missions :
surveiller les élèves d’un collège, d’un lycée ou d’un internat,
aider les élèves dans leurs devoirs,
ils peuvent aider les professeur dans certaines tâches.
Les surveillants sont les personnes à qui s’adresser quand on a un problème, quand on est en retard, ou quand on doit rendre des bons d’absence.
Au mois d’octobre, tous les élèves du collège ont couru un cross avec leur classe. Nous avons posé des questions à des élèves de 5°1 pour recueillir leurs avis sur leur course.
Étaient-ils stressés ?
Deux élèves, Maxence et Omar nous ont répondu. Maxence n’était pas du tout stressé. Omar nous a dit la même chose.
Étaient-ils motivés ?
Maxence et Omar nous ont tous les deux dit être très motivés !
Selon eux, quelle place auront-ils dans le classement ?
Omar espérait être dans le top 3. Tandis que Maxence nous a répondu qu’il espérait être dans le top 10.
Nous cherchons un logo et une nouvelle bannière pour le Geispo’Time. Alors laissez aller votre imagination pour faire les plus belles productions que vous pouvez !
Quelques petites contraintes :
le logo et la bannière doivent être à l’image du collège, avoir un lien avec le Geispo’Time.
le dessin doit être envoyé au format numérique (si c’est un dessin papier il faudra le scanner chez vous ou au CDI).
Les dimensions sont les suivantes : un carré ou un cercle pour le logo (250 x 250 pixels) et un rectangle pour la bannière (2 000 x1 200 pixels).
Image d’illustration (Pixabay)
Vous pouvez envoyer vos propositions de logos et/ou de bannières par message MBN à Madame Rival jusqu’au 12 février.
Les logos et bannières envoyés seront mis au votes parmi les membres du club journal pour choisir ceux qui seront adoptés par le Geispo’Time.
